Le Théâtre des Vampires
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FORUM RPG SUR LE THEME DES VAMPIRES - POUR JOUEURS MAJEURS ET AVERTIS
Version #01 :: Ambrelune, la Cité Souterraine


 

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 Khanshammaï

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Khanshammaï

Khanshammaï


Messages : 3

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MessageSujet: Khanshammaï   Khanshammaï EmptyDim 6 Jan - 19:40

PRENOM : Khanshammaï
SEXE : Masculin
AGE : 2257
RACE : Démon Supérieur
RANG : Membre du conseil.

SIGNE PARTICULIER :
Une putain de connerie sur l’épaule. On me l’a foutu quand j’étais gosse, c’est mon signe. Une bestiole rousse avec des griffes, de grosses dents et une grande queue… Tout moi quoi. Mon frère vous dirait : « Un tatouage représentant un cougar, sur l’omoplate gauche », oui, un cougar. Ca vit sur terre, et c’est pas sympa du tout comme bête. Quoi d‘autres ? Une petite breloque de cuivre, autour du cou.

STYLE VESTIMENTAIRE :
Si ca ne tenait qu’à moi, je me baladerais à poil. Bon, j’aimais porter du cuir sur terre, mais il fait chaud ici, donc je me suis rallié au coton. Jean noir ou short à fleur selon les activités prévues. Évidemment, je ne supporte pas l’irrespect, pour aller bosser, c’est donc costard noir, chemise noir ou bordeaux.
J’ai tenté le costard vert, mais Bebel n’était pas joyeux puis ca jure avec mes cheveux.

METHODE DE COMBAT :
Je ne suis bon à rien sans une lame, courte de préférence, quoique je me débrouille pas trop mal à l’épée. Mais vraiment, je suis bien plus agile avec une dague, un coutela, un poignard, deux poignards, trois poign… Non.

EQUIPEMENT :
Alors… En dehors de mes armes ? Pas beaucoup de trucs… Pas de bottes de sept lieux, pas de croix ni d’ail, pas de balais, ni miroir ni maquillage…
Un paquet de clopes. Mais pas de la merde vendue en surface hein, non, des vrais des chez nous. Des blacks crazy, les meilleurs du bled.
Un briquet qui ne fonctionne plus, en plastique rouge bordeaux avec une forme bizarre. Vraiment bizarre même, l’était pas comme ca auparavant… Il a dû fondre. Bref… Une boîte de tic-tac à la cannelle, importée du gros continent pourri là, les USA un truc dans le genre, Unité des Salauds Assemblés. M’enfin, c’est vachement bon les tic-tac cannelle.
Des bonbons au citron aussi, des « altoids » ça s’appelle. Euh, un stylo bic noir, des mouchoirs. Voilà.
J’aimerais faire comme Harpo Marx et pouvoir sortir n’importe quoi de mes poches, même un expresso fumant, mais… Bientôt peut être.
J’ai une breloque de cuivre (semble t il, pourtant ca ne fond pas même à très forte chaleur…) autour du cou, un serpent sept fois enroulé autour d’un croissant de lune. On ne touche pas, et l’avertissement est valable pour tous, sous peine de mort… Même pour mon frère. Il sait ce que cela représente pour moi, lui à un objet aussi idolâtré.
J’ai autour du poignet une lanière de cuir brun, enroulée trois fois, vieux et tanné, le cuir se barre un peu, mais l’ensemble tient le coup. Une vieille croûte pour un vieux souvenir…

ARME(S) :
Un poignard, deux poignards, trois… ouai, trois lames. La dernière n’étant pas commune, forgée par mon frère, un des seuls trucs vraiment bien qu’il ait fait. Personne ne peut témoigner de sa forme, ni de sa taille, ni des différente opportunités qu’elle offre. Personne, car lorsqu’elle sort de son fourreau, ce qui est rarement utile, le provocateur meure rapidement. J’ai un fouet dont je me sers parfaitement, mais il reste chez moi, je n’ai toujours pas trouvé comment le trimballer sans qu’il me handicape. J’ai appris à m’en servir après Indiana. Je m’en sors mieux que lui, sauf que Jones sait comment le transporter partout, donc son savoir lui sert à quelque chose. Moi… Je peux tuer les mouches avec à la maison. (Faut pas croire, en enfer aussi les mouches sont démoniaques… hum.)

RELATIONS :
Je connais un type qui est mon portrait craché ! Mon jumeau en fait. J’ai également un esclave des plus charmants et je me considère comme le conseiller du siècle ! Au service du mal, j’aide Bebel dans ces déboires. Je fais donc parti du conseil de Belzébuth, et j’ai un frère, à peine plus âgé que moi et un brin moins fufute. J’ai quelques maîtresses, quand j’ai le temps de les satisfaire. Je me distrais avec l’humain parfois, mon charmant petit esclave, ma distraction.

DESCRIPTION PHYSIQUE :
Plutôt rouquin dirons-nous. Enfin, on peut voir ca comme ca. Rouquin ou auburn tirant sur le rouge. Plutôt grand et pas mal foutu pour continuer, parce qu’on a l’air con quand on est petit et chauve dans un milieux comme celui-là. Puis c’est quand même bien moins pratique pour se taper les jolies filles. Ma mère m’a pondu comme ca, et ce n’est pas plus mal. Quoique… Une tignasse noire m’aurait bien plu. Et des yeux bleus. Bleus comme ceux des anges. Oui, le comble, j’aurais aimé. Cheveux roux, les yeux ambre, foncés. Assez démoniaque, il faut bien l’avouer. Les cheveux ? Ils m’arrivent aux épaules, mais je les attache en catogan. Enfin, ils font ce qu’ils veulent, on a un peu déconné un jour avec ambre, on était bourré et armé de paires de ciseaux, forcement… Ils tombent devant mes yeux, c’est pas vraiment pratique mais bon, on fait avec. Puis le roux s’accorde sur mon regard, c’est plutôt joli.

On dit que j’ai de beaux yeux, longs, en amande, à la couleur incroyable du sirop d’érable, au rouge variable, plus ou moins foncées. Mes pupilles se dilatent sous l’effet de la peur ou de la colère, parfois au contraire, ce n’est qu’un point presque invisible qui scrute les tartares au centre de mon iris. Je communique par le regard, il faut y faire attention, on peut se fier à ce que disent mes yeux, reflet fidèle de mes pensées, la plupart du temps.
J’ai un visage triangulaire, une bouche de gonzesse et un nez droit. Des traits réguliers en gros.

Les oreilles trouées, un trou par nana dépucellé, ca fait pas mal de jeune filles… Mais je préfère les filles qui ont de l’expérience. Non, en réalité c’est encore un coup d’ambre, selon lui ca attire les minettes. Avec son caractère de tapette, il est bien obligé de trouver d’autres artifices, et moi… Je suis le plus jeune, alors forcément, à l’époque j’ai suivi ces élucubrations. Maintenant ce n’est plus pareil, mais ca me rappelle des souvenirs.
J’ai un corps parfait, du moins je me plais à le croire et l’on ne m’a jamais contredis. Grand, svelte, aux muscles élancés, une armure en peau de cochon infernal me recouvrant entièrement, on me trouve assez remarquable. La classe quoi. Hum… Pas grand chose d’autres à dire sinon qu’on ne m’entend jamais arriver, discret comme un chat lorsque je marche ou cours.
Mes mains sont longues et fines tout en restant purement masculines car larges et robustes. Douces comme des fesses de bébé démon. Ce n’est pas toujours pratique cette faculté de régénérescence, les cales à peine formées s’estompent, condamné à souffrir de cloques et autres après chaque entraînement à l’épée. Je joue du piano, pas très bien, pas trop mal, car j’ai bien sûr l’ouie surdéveloppée des êtres de ma race. De plus, j’ai une certaine tendance à m’énerver quand je ne parviens pas à m’accaparer un morceau. Et à défoncer mon instrument. Sur terre, il est déjà difficile de se faire livrer un piano au quatrième étage, les livreurs se « trompent » souvent d’adresse, alors imaginez le commander en enfer…Une chance sur deux qu’il arrive carbonisé avec un siècle de retard.

En dehors de cela, mes côtés démoniaques restent peu visibles, si on omet mes capacité physique surdéveloppées… Si j’ai une longue queue, elle n’a rein de fourchu, et les cornes ont oublié de faire surface. Mes yeux n’ont aucun caractère humain, ni ma voix de stentor d’ailleurs, mais ca reste banal pour un coin comme Esod.
Ah, si parfois, mais alors parfois seulement, quand on me pousse à bout, mais vraiment au delà de l’énervement et de l’envie de tuer, quand l’agacement profond fait surface, lorsque l’irascibilité est titillée, elles poussent.
Les écailles. Je ne sais pas trop d’ou ca me vient, mais ca me vient. Et c’est bien la seule différence qu’il y a entre mon frère et moi. Il en a aussi hein, mais les miennes sont bleues, très foncées, tandis que les siennes sont… Arf, ca fait un baile que je ne les ai pas vue, faudrait lui demander. Faut que je me questionne, elles débarquent de plus en plus souvent ces temps ci…

DESCRIPTION CARACTÈRE :
Je suis un jeune con.
Ce qui compte, c’est bien sûr d’en être conscient. Ça tombe bien je le suis. Je ne suis qu’un jeune con… Du moins, je fais tout pour y ressembler le plus possible, et pour frôler l’idiotie maladive aux yeux de tous. D’un certain côté, ca m’est assez naturel, de l’autre, c’est un travail de tous les jours. Souvent revient la conscience, le sérieux, le professionnalisme ou tout bêtement l’age et l’expérience qu’il faut oublier pour sembler jeune.

Jeune et con.

Car ma connerie fait partie intégrante de moi, je la travaille au quotidien. Cela peut paraître étrange n’est-ce pas ? Mais d’une certaine façon, qu’y a t il de mieux qu’une bonne dose d’idiotie associée à une pointe de prétention pour cacher aux yeux de tous le stratège de génie ? On se dira que ma prétention est fondée. Dans ce cas, je l’affirme, car je suis ainsi, ingénieux, sans me croire au-delà de tous, je ne me démerde pas trop mal.

Pourtant malgré les défauts que m’impose ma jeunesse cultivée, je ne garde pas la folle passion de la drague, non que la séduction ne m’intéresse pas, mais je n’ai plus le temps pour ce type de divertissement. De toute façon, mon frère s’en charge pour deux, et quand j’ai besoin d’une fille, je n’ai qu’à faire appel aux putains de la ville, trop heureuse de servir un membre du comité réputé un peu moins salaud que les autres, un qui laisse les filles en vie, et en générale avec tous leurs pleins de choses utiles... Les bras, les jambes...
En plus je m’attache, sans pour autant apprécier le traintrain quotidien, j’irais de préférence voir la même fille plutôt que de varier les plaisirs. Sans pour autant cracher sur une jolie gonzesse lorsque l’occasion se présente.

En dehors de cela, je suis coléreux. Un peu, de temps en temps. On me dit que je pique des crises pour un rien. Bon c’est un peu vrai, mais c’est toujours fondé. Je suis assez violent, en tout cas, à côté d’ambre, c’est sûr, je suis un grand malade. Faut dire que lui ne fera jamais un bon dirigeant. Bien trop stoïque.
Il ne faut pas crier, mais il faut se faire entendre, lui il sait crier. Remarquons que cela a aussi son utilité au milieu d’une forge.
J’ai toujours aimé me détendre en gueulant un coup. Ce n’est pas méchant, je tiens à le dire. On me trouve vraiment effrayant quand je crie, parce que ma voix grave prend des intonations terriblement menaçantes… Il ne faut pas se fier à ces petits emballements, ce n’est rien qu’un sport que je pratique par amusement. Les moments où l’on doit s’inquiéter, et ceux qui me connaissent un peu le savent, ce sont les rares instants où dans mon ton mielleux et insidieux, on retrouve une froideur peu habituelle chez moi, et sans que mes interlocuteurs ne s’en aperçoivent forcément, mon corps se couvre d’une fascinante couleur bleue aux écailles étincelantes. Comme la mort et vêtue d’une cape et d’une faux, je me pare de mes propres tourments.

Ma place au conseil m’occupe l’esprit, les responsabilités, les chalenges m’ont toujours attiré, j’aime les défis, j’aime m’imposer sans pour autant être en avant de la scène. Je suis jeune pour un démon supérieur, cela m’impose un degré de tolérance moindre et une vigilance toujours optimal. Je suis né comme ca, prêt à palabrer et à prendre toutes nos bêtises sur mon dos, sachant parfaitement que je m’en sortirai sans dommage. Je n’ai qu’une parole, et mes promesses sont ce qu’elles sont. Je donne ce que je propose, rien de plus, rien de moins.

Mon frère au contraire est resté dans l’ombre, bien heureux de pouvoir tout me foutre sur la gueule. On s’est battu pas mal de fois à ce sujet du reste, et l’on se bat encore. Il a pour lui la force et l’habileté, il ne me reste que la rapidité et l’endurance… Voilà pourquoi a mains nues, je suis foutu, je ne peux qu’éviter les coups sans espérer l’approcher. Il me connaît trop bien. Aux lames par contre tout s’inverse, et bien qu’habile, la rapidité l’emporte. Je l’emporte.

Dragueur, ce couillon s’est foutu dans la merde je ne sais combien de fois. Bon amant à ma connaissance, et inépuisable j’en suis certain. Toutefois, chacun sachant qu’une succube, surtout lorsqu’elle apprécie son partenaire, est insatiable, il est évident que mon frère n’hésite pas à venir, encore essoufflé par ses prouesses, à poil et circonspect, me demander de prendre sa place quelques instants auprès de sa conquête.

Je n’hésiterais pas à bousiller ceux qui m’emmerde. Pas que je tape d’abord et que je parle après, mais bon… Elle a fait ses preuves cette technique quand même. Je suppose que ca va avec mon tempérament impulsif. Justement, quand je réagis comme ca, c’est que je vais bien ! Je ne ferais que couper une ou deux mains, ca repousse… Je n’aime pas tuer mes troupes inutilement, je ne suis pas fait pour être dans les rangs, je crée les rangs. Si je tue les démons qui le constituent, ca m’avance pas. Ils sont cons de me provoquer, franchement on me connaît, je suis pas commode ! On m’a dit que c’était trompeur, c’est vrai, je fais facilement ami ami, mais ca, c’est le fait de fréquenter les troupes, ca ne veut pas dire que je ne suis pas monstrueux. Merde, on peut être monstrueux et sympathique. Comment j’aurai pu atteindre ce grade si j’étais aussi con que j’le semble ?

Sachez le mes ignobles petits pourceaux infernaux : méfiez vous des apparences.

Dans la famille elles sont trompeuses et j’irais jusqu'à dire que c’est génétique.

AUTRE(S) :
Nos esclaves vivent avec nous dans les appartements, ils doivent nourrir le chat… Notre cougar du tartare est un amour de bête, compréhensif et joyeux, encore gamin car peu âgé pour un être de son espèce.
N’atteignant pas encore un mètre, c’est un petit animal qui pourtant grandi très vite dans ces phases de croissance. Adorable quoique bavard, il ne comprend pas toujours la nature démoniaque. Il méprise totalement les humains qu’il juge impuissants. Il ne peut pas jouer avec sans qu’ils ne se déchirent.
Ses écailles rousses, proches de la couleur naturelle de son poil, prennent des reflets rouges impressionnant après qu’il ait correctement mangé. En parfait représentant de son espèce, il se couvre de centaines de petites plaques dures comme du titane et pourtant souple au touché, frais comme de l’eau claire, au moindre changement de caractère.
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MessageSujet: Re: Khanshammaï   Khanshammaï EmptyDim 6 Jan - 21:21

Ah je te l'ai dis, et redis, mais j'aime cette touche originale dont tu as la manie, naturelle, d'insérer dans tes personnages. Je sais que tu as déconné, mais c'est génial. Et ce que j'ai dis à Ambroisie vaut aussi pour ta fiche, qui est très plaisante à lire. J'te suis dans ton délire. xD Fiche validée, bon jeu !
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